Les deux chefs d’État ont pu constater de visu l’avancement de ce méga-projet énergétique dont la première cargaison de GNL a été chargée avec succès en avril dernier par la compagnie BP, opérateur principal du champ gazier.
D’une capacité de production annuelle de 2,5 millions de tonnes, GTA représente un investissement global de 4,8 milliards de dollars et constitue à ce jour la plus importante infrastructure gazière en exploitation dans la sous-région ouest-africaine.
« Ce projet historique place nos deux peuples frères au sein du cercle restreint des pays exportateurs de gaz naturel liquéfié (GNL). Il marque une étape décisive vers la prospérité partagée, la transformation économique durable et la souveraineté énergétique de nos nations », a écrit le chef de l’Etat sénégalais dans un post sur X ( ancienne Twitter).
Le projet GTA, dont les réserves sont estimées à 15 000 milliards de pieds cubes de gaz (environ 424 milliards de mètres cubes), devrait permettre aux deux pays d’accroître significativement leurs revenus énergétiques tout en approvisionnant les marchés régionaux et internationaux.