Le 3e Genre guette toujours le Sénégal (Par l’ONG JAMRA)

L’ALLEMAGNE a franchi le Rubicon depuis le vendredi 14 décembre 2018, en devenant le pays précurseur en Europe dans la reconnaissance des « personnes intersexes ». Selon le texte de loi, approuvé par la Bundestag, la Chambre des députés, il figurera désormais à côté de la mention « féminin » ou « masculin » des documents administratifs, la mention « divers », faisant ainsi office de « 3e Genre ». 

LE GOUVERNEMENT allemand, une coalition de sociaux-démocrates et de conservateurs, avait ainsi appliqué une décision de la Cour constitutionnelle de 2017, la plus haute juridiction allemande, qui avait donné aux députés jusqu’à « fin 2018 » pour voter la légalisation d’un « troisième sexe ».

D’AUTRES PAYS EUROPÉENS ont emboîté le pas à l’Allemagne, en s’engageant à leur tour sur la voie d’une reconnaissance d’un « troisième genre ». Il s’agit des Pays-Bas et de l’Autriche. 

EN FRANCE (miroir par excellence du mimétisme culturel « sunugalien »), toute personne doit être rattachée, dans les cinq jours suivant sa naissance, à l’un des deux sexes, MASCULIN ou FÉMININ. La reconnaissance d’un « SEXE NEUTRE », principale revendication des lobbies homosexuels de l’Hexagone, ayant été rejetée par la Cour de Cassation, en 2017.

*C’ETAIT QUOI DONC cette notion de « GENRE », incluse dans la nomenclature ministérielle au Sénégal?* Lors d’un débat-décryptage, auquel la RFM avait convié, le 27 juillet 2018, JAMRA et Mme Mbodj Absa Wade, alors *directrice de l’Égalité et de L’ÉQUITÉ DU GENRE* au ministère de la Famille, nous avions informé l’opinion que *JAMRA effectuera une TOURNÉE D’INFORMATIONS et de sensibilisation auprès des autorités religieuses* du pays, pour leur faire part de nos préoccupations, relativement à cette notion de « genre », qui prêtait suffisamment à confusion dans l’entendement des croyants de ce pays. 

*L’ÉTAT a finalement donné droit à cette LÉGITIME REVENDICATION,* relayée par divers organisations socio-religieuses, et l’a finalement matérialisé au lendemain des Législatives du mois de juillet dernier.

EN EFFET, en lieu et place de l’appellation « Ministère de la Femme, de la Famille, de la Protection des Enfants et du GENRE », ce département s’intitule désormais « Ministère de la Femme, de la Famille et de la Protection des enfants ». Point. La notion a été zappée, depuis le dernier remaniement ministériel. Et c’est tant mieux !

SALUTAIRE MESURE, quant on sait surtout que, dans les pays occidentaux, la concrétisation de la notion de « troisième sexe », qui est désormais bien ancrée dans leurs moeurs administratives, avait, mine de rien, commencé par la création d’un ministère et des directions du… genre ! 

LE CRÉATEUR N’A NULLE PART fait mention, dans les Textes Sacrés des grandes religions révélées, de « 3e genre », de « 3e sexe » ou d’un quelconque « sexe intermédiaire ». Ni dans la THORA, transmise par Seydina Moussa (Moïse), ni dans la BIBLE, portée par Seydina Insa (Jésus-Christ), encore moins dans le CORAN remis à Mouhamed (psl). La malédiction divine qui s’était abattue sur le peuple pervers du Prophète Loth (Sodome et Gomorrhe) est encore fraîche dans la mémoire collective de l’humanité…

Le combat continue !

JAMRA,

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