LE JOURNAL DU NET

LES TITRES DU JDN DU MERCREDI 23 AOÛT 2017

 

1-VALORISATION DE LE MANGUE CASAMANÇAISE : Les acteurs de la filière a l’école de la normalisation

Producteurs et autres acteurs de la filière mangue en Casamance multiplient leur mobilisation pour mieux rentabiliser leurs activités. Grâce à l’appui  de la Chambre de commerce d’industrie et d’agriculture de Ziguinchor, ils ont bénéficié ce mercredi d’une formation sur la Norme sénégalaise NS03-066.

2-BIGNONA : L’enfance au cœur de la coopération décentralisée

La prise en charge de l’enfant dès le bas âge est au cœur du programme de coopération Bignona-Savoie. Pendant une vingtaine de jours, plusieurs centaines d’enfants ont été regroupés dans deux camps différents pour un patronage très instructif, aussi bien pour les enfants que pour les encadreurs

3-DJIBÉLOR : Le village de reclassement social sur le chemin de la résurrection

Les habitations du village de reclassement social de Djibélor ont été rénovées. Cette réhabilitation a été rendu possible grâce à  l’Agence Turque de  Coopération et de coordination (TIKA) en collaboration avec le Centre Africain de Complémentarité Scolaire Universitaire et de Promotion (CACSUP) dans le cadre des vacances citoyennes pour renforcer les échanges d’expériences turco-sénégalaises.

4-RÉHABITATION DE LA CHAPELLE DE DJIBÉLOR : Le curé de la paroisse de Lyndiane salue l’initiative

A la suite de la rénovation de la chapelle du village de reclassement social de Djibélor par   l’Agence Turque de  Coopération et de coordination (TIKA), le Curé de la Paroisse de Lyndiane, l’Abbé Célestin Sagna  a magnifié cette action de haute portée qui rentre dans le cadre  du raffermissement du dialogue islamo-chrétien.

5-ZIGUINCHOR : La pluie empoisonne les rapports entre la mairie et les chauffeurs

Entre la mairie et les chauffeurs de la gare routière de Ziguinchor, ce n’est plus le parfait amour. Au contraire, les fortes pluies enregistrées ces derniers jours dans la capitale du sud ont fini d’empoisonner les rapports entre l’institution et ces travailleurs. Pour faire payer aux autorités municipales leur impuissance devant la situation d’inondation qui secoue la gare routière, les chauffeurs ont tout simplement décidé de ne plus s’acquitter de la taxe municipale.

6-L’ACTU INTERNATIONALE

(Voir la vidéo)

GMS

 

 

 

 

 

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