SOCIÉTÈ-Pour mieux appréhender les facteurs de risques et enjeux de la mutilation génitale féminine en Casamance, l’université Assane Seck de Ziguinchor à travers son UFR des sciences de la santé, a mené une recherche pour comprendre les complications sanitaires de cette pratique. Ainsi, l’institution veut contribuer à l’éveil des consciences contre ce phénomène en Casamance. Un atelier de partage des résultats d’une étude s’est tenu à Ziguinchor.
GMS /Ansoumana Dasylva